L'Âme n'est pas ..., chap. N°2 - L'Âme de l'humain renferme l'esprit

18/06/2019 10:37

L’Âme n’est pas « Esprit », et l’esprit est dans « l’Âme »

 

 

Chapitre N° 2

 

L’Âme de l’humain renferme l’esprit

 

Je reviens sur la bible juste pour se souvenir. EL-SHADDAÏ à la fin de sixième jour déposa son pantin l’Homme sur la terre de la Planète Terre, lui insuffla le « Souffle de Vie » dans les narines et le pantin devint une « Âme Vivante ».

L’Homme devient un être vivant après avoir reçu un vent, ce n’est pas l’esprit !

Ce vent aida ses poumons à fonctionner, mais aussi toute une chaine systématique, automatique, l’Homme à respirer, inspirer, le cœur s’est mis en mouvement le liquide génétique de la vie commença à circuler dans les artères et les veines, quatre mille-trois-cent-vingt pulsation à l’heure, cent-trois-mille-six-cent-quatre-vingt en vingt-quatre heures, pour en litre de sang trois-cents litres à l’heure soit sept mille deux-cents litres en vingt-quatre heures, et ce sang oxygène le cerveau qui est le combustible de cet organe, qui siège à l’intérieur du crâne et c’est là que repose l’esprit, qui est comme le vent, éphémère, mais ce n’est pas l’âme.

L’Âme en terme générale c’est l’ensemble corporel humain, mais l’âme siège dans le sang, qui est, comme déjà écrit, la génétique de l’humain, et c’est aussi la vie, car c’est lui le transporteur de tout ce que le corps à besoin.

L’Esprit écrit ainsi est un être spectre, fantomatique, translucide, donc ce ne peut être ni un Ange, ni un Démon et encore moins EL-SHADDAÏ.

La religion chrétienne dit que leur dieu « Dieu » est « Esprit », mon Dieu à moi, le seul l’unique que je nomme EL-SHADDAÏ n’est pas « Esprit » non ! , par contre comme il est matière c’est-à-dire substance, façonné par lui-même, par sa propre volonté, dont nous ignorons le commencement et nous ignorerons la fin, car Il n’a pas de fin, la seule chose il possède une silhouette humaine puisque nous sommes son reflet, son image, il possède un cerveau avec un esprit d’Intelligence phénoménal, doté d’une immense « Sagesse », au regard de la gestion de l’Univers, et plus près de nous, de la Planète Terre.

Reconnaissons que l’administration de la Terre, partout où l’homme ne peut pas entrer, est quelque chose de merveilleux, de splendide, rien qu’en regardant l’intendance du corps humain, ainsi que l’éthique de la terre. Cet Être de matière, non diaphane, possédant une tête des cheveux, des bras et des mains, des jambes et des pieds puisqu’il se déplace comme un humain, je n’invente rien, c’est la description de Moïse sur la Montagne Ardente, la Montagne Sainte, où le peuple n’avait pas le droit de monter, doit posséder un cerveau avec un esprit de « Sagesse » et « d’Intelligence » phénoménal, car l’humain il fallait l’inventer, quelle merveilleuse machine capable de se réparer toute seule des incidents bénins quel exploit dans la physique et la chimie que ce corps humain ? L’Évolution ? Impossible ! L’humain est trop complexe !

Mais il n’y a pas que cela, et les Êtres invisibles à l’humain tel que les Anges du Bien et du Mal existe- t-ils ? Même ceux qui se disent « Athée » y croit, alors il n’y a pas de fumée sans feu, car même ceux qui content ne pas y croire comme certaines factions musulmanes et protestantes pensent qu’ils existent quand même ! Quelle hypocrisie !

Je crois en l’existence de ces Êtres, car je ne vois pas EL-SHADDAÏ inventer des êtres vivants sans intelligence ! A quoi serviraient-ils ? De plus Il les créa le deuxième jour après qu’Adoël se libéra de la multitude de gaz qui donnèrent la Lumière et qu’Arouchaz se libéra de la multitude solide noire et dure et c’est la rencontre des deux, gaz, solide, que les Planètes se constituèrent. (Les Prémices de quelque chose chap. N°1)

« Cette évolution donna naissance aux vents cosmiques. La matière et les gaz circulaient dans tous les sens, se frottant, s’entrechoquant, s’explosant les uns contre les autres.

Toutes ces actions formaient de la poussière cosmique, celle-ci s’incorporant aux gaz, les gaz se mélangeant, ce qui créait de nouveaux gaz, qui s’enchevêtraient dans la matière.

Toute cette évolution de matière et de gaz, par les vents, se déplaçait à grande vitesse, et arrivait à des températures astronomiques. Ce magma en refroidissant donnait naissance à des astéroïdes, aérolithes, météores …, poches et boules de gaz, de véritable agglomérat, et agrégat avec ces poussières cosmiques …, un immense capharnaüm et c’est dans ce capharnaüm que les étoiles se formèrent.

. « Il » dit :

« Je vais mettre de l’ordre dans cette immensité, et je vais poser des Lois immuables, perpétuelles de Physique, de Chimie, moi qui aie créé toute cette matière visible et invisible, solide, liquide, gazeuse pour que mon alchimie soit impénétrable. » »

C’est dans ce contexte du deuxième jour de la création que cet Être Suprême créa les invisibles, II Hénoch, Livre des Secrets XXIX : 2

« Et du rocher en feu j'ai pris quelques flammes et avec celles-ci j’ai créé les ordres des dix troupes incorporelles d'anges, et leurs armes sont ardentes et leur rayonnement une flamme brûlante. J’ai commandé que chaque hiérarchie angélique devait se tenir et rester dans son ordre, à sa place ».

Cet Être Suprême seul et unique continua sa création, mais inventa ces invisibles pour qu’ils veillent à la gestion de l’Univers qui était parfait puisque le « Mal » n’existait pas encore, mais ces Êtres il les fit avec un cerveau et un « esprit » pour raisonner, réfléchir, penser, être responsable de leurs actes, librement, il les fit avec la poussière du Cosmos et les flammes du feu afin qu’ils vivent éternellement car ils reçurent le « Souffle de Vie » il les façonna à sa silhouette, sa ressemblance. Ces invisibles, comme leur Créateur EL-SHADDAÏ, détiennent des sentiments comme leur liberté de penser.

Le sixième jour EL-SHADDAÏ façonne de ses mains, avec la terre de la Terre et l’eau des quatre fleuves de la région du Paradis, l’Homme, et il admire dans le creux de sa main cette merveille finie. Comme un ébéniste devant son meuble terminé qu’il regarde content de son œuvre, ce Dieu contemple son ouvrage achevé et les Anges passant devant se prosternent voyant l’image de leur Fondateur dans le creux de sa main, et presque tous les Anges se prosternaient devant l’image de leur Dieu.

« Mais dans cette armée céleste un Ange, le premier créé, s'est détourné loin de l'ordre qui était sous lui, pour placer son Trône plus haut que les nuages au-dessus de la Terre, même l’ambition de l’installer au-dessus du mien, pour devenir égal au rang de ma puissance.

Alors je l’ai éjecté de mon Paradis, de la hauteur des Cieux avec tous les Anges qui étaient avec lui et pour lui et ils volent dans le ciel du firmament sans interruption au-dessus du sans fond, qui est la Terre. » (II Hénoch, Livre des Secrets XXIX : 3-4)

Ceci nous prouve que les Anges avaient un « esprit » dans leur « âme vivante » et qu’ils sont peut-être invisible au regard humain, mais qu’ils sont matière quand ils se font voir aux humains. N’oublions pas non plus que nous possédons une deuxième image, invisible, non corporelle, mais matière tout de même qui possède notre « esprit », II Hénoch XXX : 12 « J'ai conçu un parler astucieux pour s'exprimer, j'ai créé l'homme de nature invisible et visible, de tous les deux sont sa mort et sa vie et son image, il connait la parole comme certaine chose créée, petit dans la grandeur et encore grand dans la petitesse, et je l'ai placé sur terre, un second ange, honorable, grand et glorieux, et je l'ai nommé comme Gouverneur pour régner sur terre et pour avoir ma sagesse, et il n'y en avait aucun comme lui sur la terre de toutes mes créatures existantes », matière autre que l’Ange, mais cette enveloppe, comme un autre Ange avec un cerveau et un « esprit » comme les Anges honorable, grand et glorieux, comme aurait du être le pourquoi de notre création, mais voilà le « Mal » a pris naissance avec SAMMAËL le premier Ange créé et tout ceux qui l’ont suivi, ce qui prouve que les Anges étaient libre de leur penser, de leurs actions, mais eux aussi connaissaient la terminaison.

SAMMAËL et les Siens se sont révoltés volontairement pensant qu’ils étaient immortels contrairement à l’Humain, pourtant leur Créateur leur à promis qu’ils disparaîtront de l’immensité des Cieux, que jamais plus l’humain comme les Anges ne les verront car ils seront jetés dans le Néant et plus personne ne parlera d’eux et de leur méchanceté, le « Mal » aura disparu.

L’humain, dans tout l’Univers est le seul Être vivant à posséder deux images, une, visible, corporelle, qui retourne à la terre d’où elle fut créée, et l’autre invisible, de l’humain, mais visible des Anges et de son Créateur, d’une autre substance que les Anges, qui retrouvera son corps à la résurrection, suite au premier Jugement, car au second Jugement il n’y a pas de résurrection, c’est la mort définitive, instantanée, et la deuxième image part vers le Néant, pour l’oublie irrévocable.

L’esprit de l’humain est sa pensée, réflexion, raisonnement qui fonctionne avec son cerveau, mais aussi avec le cœur, siège des sentiments.

Personnellement, je suis convaincu que le corps, matière, ne peut vivre sans le spirituel c’est-à-dire l’esprit de ce corps qui dirige cette matière vers le bien, vers le mal, conscience de la matière, et qui continuera à vivre à l’endormissement de la matière qui retournera à son origine, poussière. Cet « esprit » du corps, est la partie « intelligente » que les animaux n’ont pas. Je réitère, à notre naissance nous sommes nus comme un ver et nos quatre premières années nous les passons dans le monde animal. Ce sont nos parents qui par l’éducation, nous dirige vers le bien, vers le mal, car jusqu’à l’âge de raison, ce sont eux qui sont responsable de nous, devant l’Être Suprême. Ils nous apprennent le vocabulaire, nous guident dans nos premiers pas, nous vêtissent et nous nourrissent.

A l’âge de raison nous recevons « l’Esprit » car nous savons juger entre le bien et le mal selon notre éducation parentale.[]

Cela est une certitude, à l’âge de raison nous donnons naissance à notre double, notre clone, en image, mais aussi en « esprit » cette chose qui nous ait personnelle car de tout l’Univers nous sommes les seuls à être cloné et uniquement nous, notre personnalité génétique, physique, sensoriel et spirituel, car le clonage n’existe pas dans l’Univers, nous sommes les seuls à posséder un double similaire, même EL-SHADDAÏ qui est notre Fondateur, Concepteur ne détient pas cette particularité

Cette caractéristique unique nous la connaissons bien, puisque invisible comme la parole, elle nous bouscule, nous interpelle, nous torture même, c’est notre conscience qui nous fait penser, réfléchir, raisonner, sur ce que nous sommes et ce que nous faisons, c’est cette cognition qui nous guide dans nos actions, nos pensées, en bien, en mal, et tout cela est invisible et pourtant bien vivant, incrusté dans la mémoire où éphémère comme le vent.

L'Église catholique romaine a donc cherché à approfondir le sens des termes, ce qui n'est pas allé sans controverse entre l'Église de Rome et les Églises d'Orient. Dans le catéchisme de l'Église Catholique, la notion d'âme est attachée à un individu (unité de la personne humaine et de l'âme), tandis que l'esprit est considéré aussi sous un angle collectif :

« L'héritage sacré de la foi, depositum fidei, contenu dans la Sainte Tradition et dans l'Écriture Sainte a été confié par les apôtres à l'ensemble de l'Église. En s'attachant à lui, le peuple saint tout entier uni à ses pasteurs reste assidûment fidèle à l'enseignement des apôtres et à la communion fraternelle, à la fraction du pain et aux prières, si bien que, dans le maintien, la pratique et la confession de la foi transmise, s'établit, entre pasteurs et fidèles, une singulière unité d'esprit. »[]

Ceci est particulièrement bien révélé dans l'introduction de l'encyclique Fides et ratio :

« La foi et la raison sont comme les deux ailes qui permettent à l'esprit humain de s'élever vers la contemplation de la vérité. C'est Dieu qui a mis au cœur de l'homme le désir de connaître la vérité et, au terme, de Le connaître lui-même afin que, Le connaissant et L'aimant, il puisse atteindre la pleine vérité sur lui-même. »

Le mot « esprit », avec une minuscule, donc celui de l'homme, apparaît très souvent dans cet encyclique, alors que le mot « âme » n'apparait qu’à cinq reprises.

Le mot Esprit écrit avec une majuscule, ou figurant dans les appellations Esprit de vérité, Esprit d'adoption..., toujours avec une majuscule, désigne « l’Esprit-Saint ».

« Au XVIIème siècle, Descartes sépare le corps de l'esprit, qu'il identifie à l'âme, en un dualisme : le corps est une substance étendue et relève de la mécanique d'où la théorie des animaux machines, tandis que l’âme est une substance pensante. En tant que passif, l'esprit est intellect ; en tant qu'actif, il est volonté. L'unité des deux reste un problème épineux, et Descartes voit dans la glande pinéale le lieu de communication entre les deux. Plus simplement, Descartes décompose l'esprit en trois composants,[] la pensée, l’imagination, et la mémoire.

À contrario, les tenants du matérialisme philosophique refusent l'existence d'un principe immatériel et l'esprit est conçu comme la manifestation de phénomènes physiologiques régis par les lois de la physique.

« Le cerveau sécrète la pensée comme le foie sécrète la bile. » (Pierre-Jean-Georges Cabanis, 1802). »

Dans les sciences cognitives contemporaines, le terme cognition ne renvoie pas seulement aux facultés de connaissance et intelligente de la pensée mais bien à l'ensemble des processus psychologiques à l'œuvre dans l'esprit humain et non-humain, incluant la perception, la motivation, la décision et les émotions …Les sciences cognitives regroupent un ensemble de disciplines scientifiques dédiées à la description, l’explication des mécanismes de la pensée humaine, animale voir artificielle comme l’informatique et plus généralement de tout système complexe de traitement de cette information, capable d’acquérir, conserver, utiliser transmettre des connaissances, étudiant des phénomènes aussi divers que la perception, l’intelligence, le langage, le calcul, le raisonnement et même la conscience.

Ainsi la théorie de l'esprit peut désigner les processus par lesquels l’esprit est compris comme engendrant des représentations et les conduites comprises comme déterminées par ces représentations.

Les données actuelles semblent indiquer que l'humain serait le seul primate à posséder cette capacité à traiter les états mentaux intentionnels, et qu'elle ne serait pas maîtrisée avant l'âge de 4 ans.

La Glande Pinéale ou Épiphyse est une petite glande endocrine de l'épithalamus du cerveau des vertébrés. Elle sécrète la mélatonine, et joue par son intermédiaire un rôle central dans la régulation du rythme biologique. Dans l'espèce humaine, l'épiphyse a la forme d'un petit cône d'environ 8 mm situé en position médiane en arrière du troisième ventricule, au-dessus des colliculi supérieurs derrière la stria medullaris.

Mythologie

La glande pinéale fut l'avant-dernière des glandes endocrines dont la fonction fut identifiée. Cela explique sans doute les spéculations tant physiologiques que métaphysiques qui ont entouré son rôle supposé central dans la pensée du fait de sa position dans l’encéphale

Connue depuis au moins l'époque de Galien, au IIe siècle ap. J.-C., la glande pinéale était baptisée kornarion, pignon de pin, en raison de sa forme semblable à la graine d'un conifère

La plus célèbre de ces théories est sans doute celle du philosophe français René Descartes qui désigna la glande pinéale comme le « siège » de l'âme. [] Pour justifier cette hypothèse, Descartes se basait sur le fait que la glande pinéale aurait été l'unique organe de la tête à n'être pas conjugué, c'est-à-dire ne se présentant pas sous une forme de paires d'organes symétriques situés de part et d'autre du plan sagittal. Par ailleurs outre sa position centrale, la glande pinéale se trouve juste au-dessus de l’aqueduc de Sylvius dont Descartes pensait qu'il guidait ce qu'il appelait les « esprits animaux » censés faire naître les sensations dans l'âme en frappant la glande pinéale. Aujourd'hui, les études histologiques ont montré que la glande pinéale est bien un organe conjugué mais les deux hémisphères qui la constituent sont presque fusionnés.

D'après Paul Foster Case, la glande pinéale est la « montagne » de la Bible où se fait la communication avec le Très Haut : « Moïse reçoit les tables de la loi « sur la montagne », d'un point de vue ésotérique, cette montagne ne serait autre que le siège de la glande pinéale. »

Les glandes ont beaucoup d’importance chez l’humain comme l’absence de la glande thyroïde amène à la trisomie, la glande pinéale siège de la mémoire, les glandes salivaires, urinaires, surrénales, etc

Je n’ai pas écrit sur le Fils d’El-SHADDAÏ, ce dernier étant androgyne, -- personne qui possède le mélange de la personnalité des deux sexes sans avoir les organes génitaux, à ne pas confondre avec une personne hermaphrodite, personne qui possède les organes sexuels masculin et féminin et qui peut avoir la corpulence de l’homme ou la sculpture de la femme avec sa légèreté et finesse -- -- il engendra ce Fils unique.

Ce Fils est sorti de ses entrailles, ce qui a permis à EL-SHADDAÏ de donner la « VIE » en dehors de sa création et de connaître le secret de la reproduction, donc de la VIE.

Lui seul et pas un autre connaît ce secret, même son Fils Bien-Aimé ne connaît pas le secret de la Vie.

Ceci est encore une preuve supplémentaire qui fait que le Jésus-Christ des chrétiens n’est pas un « Dieu » et n’est pas l’égal de son Père puisqu’il ignore ce secret, et de ce fait jamais, j’écris bien jamais il ne sera un « Dieu », alors respectons-le comme notre « Roi » louons-le comme notre Roi, mais ce qui est à EL-SHADDAÏ reste à cet Être Suprême, qui est notre seul et unique « Dieu », adorons-le, vénérons-le pour ce qu’il est, et qu’il sera pour toujours, le seul et unique « Dieu » de l’Univers, chacun à sa place, chacun à son rang, seul EL-SHADDAÏ est « DIEU » Lui et pas un autre, même pas son Fils unique !....

La femelle, puis la femme qui porte ce secret en elle, ignore complètement toute la physique et la chimie qui se passe en elle quand elle façonne un nouveau-né, un humain à l’intérieur de son ventre.

Là, en premier je ne fais qu’une supposition qui me paraît logique, en second la logique devient une réalité indestructible, un fait que l’on ne peut ignorer, et que tout humain s’il est correct avec ses semblables, mais surtout avec lui-même ne pourra démentir.

EL-SHADDAÏ étant androgyne comme écrit si dessus, il est Père et Mère, a engendré son Fils, j’en déduis qu’il a dû enfanter comme une femme par accouchement. Tout le processus interne de développement de son enfant c’est fait par la force du « Souffle » d’EL-SHADDAÏ, sans douleur, dans la joie. En effet il lui a fallu quelque chose ayant les mêmes fonctions que le spermatozoïde humain et quelque chose ayant les mêmes fonctions que l’ovule féminine interne à sa substance, que par sa volonté et la force intime du « Souffle » il y ait eu mélange des deux et toujours par la force interne du « Souffle », de l’ESPRIT, molécule par molécule il façonna son Fils à l’intérieur de son corps. Voilà pourquoi IL est le seul à détenir le mystère de la vie par procréation.

Qui nous dit que ce Fils, là-haut dans les Cieux ne fut pas le premier être à la ressemblance humaine puisqu’obligatoirement il devait ressembler pour une partie à sa « Mère » pour l’autre à son « Père » d’où ce terme justifié de « Fils d’Homme ou Fils de l’Homme ».

Jean III : 12 -18 Suite à une question de Nicodème, Jésus le Nazôréen –{ Le Jésus-Christ des Chrétiens }- lui répond.

« Si vous ne croyez pas ce que je vous dis de terrestre, comment croirez-vous ce que je vous dirai de céleste ?

Nul n'est monté au ciel, hormis celui qui est descendu du ciel, le Fils de l'Homme.

Comme Moïse éleva le serpent dans le désert, ainsi faut-il que soit élevé le Fils de l'Homme, afin que quiconque croit ait par lui la vie éternelle.

EL-SHADDAÏ a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils Unique-Engendré, pour que quiconque croit en lui ne se perde pas, mais ait la vie éternelle.

Car EL-SHADDAÏ n'a pas envoyé son Fils dans le monde pour juger le monde, mais pour que le monde soit sauvé par lui.

Qui croit en lui n'est pas jugé ; qui ne croit pas est déjà jugé, parce qu'il n'a pas cru au Nom du Fils Unique-Engendré d’EL-SHADDAÏ. »

Souvenez-vous bien de ce que je viens d’écrire car peu d’humain vous donnerons une explication si approfondie avec une telle logique.

Ce que je viens d’écrire en premier peut être considérer comme une supposition, quoi que ! … difficile à démontrer, mais encore plus laborieux à contester.

Souhaitant que cette lecture vous fut agréable, bénéfique, en attendant la suite dans quelques jours, portez-vous bien ! Prenez soins de vous et de votre maisonnée !

Salutations cordiales !

Sig : JP.G. dit « GRANDELOUPO »

 

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