NdR-Chap. N° 12 - Les Hébreux volet IV

13/04/2020 18:03
Naissance des Religions

 

 

 

Les prémices vers des Grandes Religions

 


 

 
LES HÉBREUX Volet IV


 

Chapitre N° 12

 

 

 

 

 

Après avoir étudié cette langue dans les montagnes Abram exigea que ses proches ainsi que ses servantes et serviteurs parlassent cette nouvelle langue. Dans cette région de Mésopotamie les humains parlaient le sumérien, akkadien, araméen, hittite, ougarite, amanite, cananéen, chaldéen, etc., chaque ville, chaque province avait son idiome, et quand les humains se faisaient la guerre le vaincu devait parler la langue du vainqueur.

Abram était toujours dans les montagnes faisant paître son grand troupeau et la voix de l’Être Suprême lui parvint en ces termes Jubilés XV : « Et le seigneur apparut à Abram et lui dit : « – Je suis EL-SHADDAÏ accorde-toi avec moi et sois parfait et je ferai mon alliance entre moi et toi et je te multiplierai extrêmement ».

Et Abram tomba sur sa face et EL-SHADDAÏ parla avec lui et dit : « – Voici mon ordonnance est avec toi et tu seras le père de plusieurs nations. Plus jamais ton nom sera appelé « Abram » mais ton nom sera « Abraham » à partir de maintenant et même pour toujours, car je t’ai fait le père de plusieurs nations. » »

C’est à partir de ce jour que Abram se fit appeler comme ce « Dieu au-dessus des Montagnes » l’avait nommé, Abraham et tous ceux qui le connaissaient le nommèrent ainsi puisque pour eux c’était sa volonté.

Les premiers Hébreux venaient de naître, et Abraham quitta son père pour aller en Canaan le pays qu’EL-SHADDAÏ lui donnerai pays, qui à l’époque coulait le lait et le miel, la Palestine d’aujourd’hui.

Abraham commença son périple il y a approximativement quatre mille quarante ans, la Péninsule Arabique n’était pas aussi désertique qu’aujourd’hui puisque les montagnes du Sinaï étaient volcaniques avec un grand nombre de volcan en éruption et la Palestine qui se nommait Canaan était verdoyante, boisée et bien arrosée par des petites rivières qui ont disparu à notre époque.

Abraham le premier Hébreux qui engendra Isaac et Isaac engendra Jacob et Jacob engendra les douze tribus d’Israël, car Jacob ne portait plus son nom, mais comme Abram qui devint Abraham, Jacob portait le nom qu’EL-SHADDAÏ lui avait donné soit « Israël »

Selon la Bible, à l’ère de Joseph qui est le Grand Chambellan de l’Égypte qui est sous la domination Hyksôs il y aurait eu une grande famine en Palestine, mais historiquement il n’y a pas de trace de cette famine et les Hyksôs ont envahie l’Égypte approximativement de -1670 à -1548 avant l’EC.

Dans le récit biblique de la vie de Joseph aucune date ne peut nous éclairer, et cela est bien dommage. Joseph est venu « Grand Chambellan » du royaume de Basse et Moyenne Égypte à l’âge de trente ans d’après la Bible. Joseph aurait vécu sous trois Rois Hyksôs, Mery-ouser-Rê, Souser-en-Rê, et Âa-gen-en-Rê, à moins que ce ne soit un conte mésopotamien du cinquième siècle avant l’Ère Commune (EC) qui aurait été transformé et incorporé à la Bible, ce que personnellement je trouve impossible.

Une certitude, Jacob que l’on nomme « Israël », est arrivé en Égypte avec toute sa famille, soit soixante-dix personnes et ils s’installèrent dans le Delta du Nil, et ils nommèrent cette région le « Goshen ». Jacob et les siens descendant direct d’Abraham se nommaient « les Hébreux » et ils gardèrent ce nom ! La région du « Goshen » devint fertile grâce à l’élevage des ovins et caprins, mais aussi grâce à la culture de la terre tel qu’EL-SHADDAÏ l’avait ordonné. La population des Hébreux était aussi fertile que la terre et les animaux et les hébreux devenaient de plus en plus nombreux et il leur fallait de plus en plus de terre à cultiver, mais aussi en pâturage.

Joseph décéda à l’âge de cent-dix ans, et la suprématie Hyksôs disparue quelques décennies après et les dynasties pharaoniques reprirent leurs cours. Entre la dynastie Hyksôs Âa-gen-en-Rê et celle de Ramsès II, quatre siècles passèrent. Les Hébreux se multiplièrent à tel point qu’ils devinrent plus nombreux que les autochtones qui étaient des Égyptiens. Le Pharaon de l’époque Ramsès I fit tuer tous les enfants mâles de deux ans et en-dessous pensant que les hébreux se reproduiraient moins, mais la mortalité enfantine était moindre chez les hébreux que chez les égyptiens dû à l’hygiène des hébreux et aux Lois de leur Dieu, « EL-SHADDAÏ » sur l’éducation des enfants.

De soixante-dix humains, la descendance d’Abraham, en quatre-cent-trente ans devint un « Peuple » en terre étrangère de plus de six cents mille hommes de pieds quand EL-SHADDAÏ libéra son peuple de l’esclavage égyptiens avec Moïse à leur tête comme guide.

Comme je viens de l’écrire le « Peuple Hébreu » a pris ses racines en terre « Étrangère », ainsi qu’une civilisation. Ce nouveau « Peuple, les Hébreux » en « Terre Étrangère » suivait, non les Lois du Pays où il se formait, grandissait, mais les Lois des premiers humains qui vécurent une année dans l’Arche, pendant le Déluge, soit les Lois qu’EL-SHADDAÏ donna à ces humains, au sortir de l’Arche, quand celui-ci se posa sur la terre ferme, et que ces humains sortirent de cette « caisse à savon » et que cet Être Suprême passa une alliance éternelle entre « Lui » et les « Humains » en posant un « Arc-en-Ciel » dans les nuées, afin que les Humains, comme « Lui », se souviennent de cette « Alliance » indestructible et éternelle, comme quoi, « Lui » ! EL-SHADDAÏ ! le seul et l’unique « DIEU » de tout l’Univers, ne supprimerait jamais plus, toute chair vivante sur la terre de la Terre, par un « Déluge Planétaire », à cause de l’Homme, par les péchés abominables des Humains !

Bien des siècles après le Déluge, les humains vivant sous les Lois Noachides, recommencèrent leurs péchés abominables et ils n’eurent pas confiance dans l’Alliance éternelle entre l’Être Suprême et Eux et commencèrent à construire une Tour qui monterait jusqu’au Cieux afin qu’ils ne périssent pas tous par un « Déluge ». Les humains construisirent cette Tour pendant quarante-trois ans avec femmes, enfants, vieillards, seuls étaient exclus les agriculteurs, apiculteurs, et bergers tous les autres humains valides devaient aller à la construction de la Tour, mais il me semble que je vous ai déjà tout écrit sur cette Tour.

La langue Divine disparue à la dispersion des humains sur toute la Terre, après leur changement d’aspect et la confusion de leur langage avec un grand nombre d’idiome qui pour certain deviendront des langues de civilisation comme le romain, le mède, le perse, le grec ou encore l’égyptien, etc.

Cette langue, l’Hébreu, revient avec Abraham, mais en plus de cela, pour reconnaître son peuple l’Être Suprême impose à Abraham la circoncision de tous les enfants mâles le huitième jour après leur naissance.

EL-SHADDAÏ libéra son peuple avec à leur tête un homme du nom de Moïse. Comme écrits plus haut les Hébreux devinrent un « Peuple » en terre « Égyptienne » et ces Hébreux devinrent une « Civilisation » comme les Phéniciens, Sumériens, Perses, Akkadiens, Philistins, etc, mais beaucoup de ces civilisations disparurent de la surface de la Terre absorbées par d’autres, mais pas les Hébreux, pourquoi ?

Avant de répondre à cette question je reviens à Moïse et à la relation qui exista entre lui et son Dieu « EL-SHADDAÏ ». En effet cet Être Suprême avait pour cet humain une attention particulière. Cet humain imparfait, meurtrier même puisqu’il a tué un égyptien, fut le porteur de toutes les Lois Bibliques et hébraïques, particulièrement ce Décalogue connu par tous les humains de la Terre que l’on nomme les « Dix Commandements » ( Exode XX : 1-17 et Deutéronome V : 6-22 ), et si tous les humains de la Terre mettaient simplement ces dix commandements en pratique, la vie sur la Terre serait admirable.

Tous les jours où presque EL-SHADDAÏ et Moïse se retrouvait à l’intérieur de la Tente du Rendez-Vous et conversait face à face, sachant pourtant que Moïse, ne pouvait voir la face de son « Dieu » et vivre, et pourtant tous les deux mettaient au point des Lois, le plus juste possible, qui conviendraient aux humains, n’étant pas trop dur à respecter. Cet Être Suprême connaissait bien la race humaine puisqu’avec Moïse ils firent des Lois sur le divorce, la prostitution, la pédophilie, la zoophilie, les hommes avec les hommes et les femmes avec les femmes, accouplement des femmes et des animaux, la nudité, les règles, les écoulements du sexe, etc …

Du temps que cet Être suprême, ce Dieu Créateur de toute chose, de l’Univers et de cette merveilleuse machine, ce pantin façonné à son image, son reflet, sa plus belle création de tout l’Univers, l’Homme et après la Femme, deux marionnettes magnifiquement gérées, devant vivre éternellement, passa avec ce polichinelle, cet humain, une poussière dans ses mains et pourtant de ces deux êtres tellement opposés en tout allait naître le plus bel amour de la Terre, « l’Amitié ». EL-SHADDAÏ en créant l’humain sur la Terre, il en avait fait un « DIEU » sur celle-ci, être comme Lui dans l’Univers, inventeur, créateur, gestionnaire, sculpteur, il avait fait cette marionnette à son image, en tout.

Que de différences entre ces deux Êtres ! L’un le Dieu, le seul, l’unique de tout l’Univers, Lui le Créateur, Fondateur, Gestionnaire de l’infiniment petit, à l’infiniment grand de tout ce qui est visible, mais aussi de tout ce qui est invisible, il existe un seul Dieu, EL-SHADDAÏ, « LUI ! » et personne d’autre, car avant Lui il n’y avait rien, sauf « LUI », et après Lui il n’y aura rien, à pars « LUI », et cet unicité il tient à la garder contre « vents et marées », car c’est un Dieu « Jaloux », « Autoritaire »

Cet humain, Moïse, avait du mal à s’exprimer, car il avait la langue lourde, mais ce Dieu, cet Être Suprême avait la patience pour l’écouter et cet « Homme » en dehors d’élaborer des Lois avec son « Dieu » pour des humains qui venaient d’être libérer de l’oppression égyptienne et qui vivaient encore sous les seules Lois qu’ils connaissaient Noachides, Abrahamiques, et Égyptiennes pour la vie courante, implorait cet Être Suprême pour pardonner la mauvaise tenue de ces humains envers leur Libérateur.

Entre ces deux êtres naquit un sentiment de cœur, car les deux se respectaient mutuellement, chacun à sa place, faisant attention à ne pas vexer l’autre, EL-SHADDAÏ par sa supériorité en tout, sa puissance, ses connaissances, son autorité, et Moïse avec ce peuple humain ingérable, qui se plaignait toujours, un jour de manger toujours la même chose, la « manne », l’autre jour d’un manque d’eau, un notre jour du manque de viande, enfin jamais content regrettant même leur vie d’esclave, un autre jour trouvant les Lois trop dur à respecter, et Moïse sans cesse devait demander l’indulgence, la miséricorde pour ces humains qui n’agissaient que par le mal.

Alors entre ces deux êtres se développa un sentiment d’amour, pas l’amour charnel comme l’humain le conçoit, non, un amour propre, indestructible, venant du cœur et de l’esprit, un amour plus fort que l’humain a, avec son frère ou sa mère, un amour où chacun donnerait sa propre vie pour l’autre. Voilà pourquoi, quand Moïse eut cent vingt ans, EL-SHADDAÏ l’endormit lui-même dans la mort, et l’enterra dans un endroit que lui seul connait, puis il pleura son « AMI » trois jours durant.

Les « Écritures » disent qu’il n’y a pas eu plus grand amour sur la Terre et dans les Cieux que l’amour entre Moïse et son Dieu EL-SHADDAÏ.

Il faut reconnaître que le sentiment d’amitié il n’y a pas plus beau sur la Terre, car c’est un amour que j’appellerais de platonique mais c’est un amour propre, sans tache, sans traitrise, c’est ce sentiment venant du cœur et de l’esprit, un sentiment droit, pur, respecté volontairement par les deux parties.

Un jour un vieil homme m’a dit : « Jamais dans ta vie tu ne rempliras une main comme amis ( ce qui ne fais que cinq doigt), si tu arrives à avoir le pouce et l’index alors tu es vraiment un homme heureux, mais n’y crois pas trop. »

J’arrive à la fin de ma vie et j’ai un ami, un seul et pourtant des humains qui disaient être mon ami il y en a eu beaucoup, mais sur le nombre un seul est resté.

Quand EL-SHADDAÏ appelle MOÏSE mon « AMI », le terme est pur, parfait venant de se Dieu seul et unique que nous prions, et quand je vous écris je pense à mon « AMI » Alain, voilà plus de vingt ans que nous nous fréquentons dans les joies et dans les peines, mais l’un soutient l’autre, sans aucune contrepartie.

Revenons sur ce « Peuple », les Hébreux !

Le temps passe pour ce peuple Hébreu, mais aussi pour moi !

Sincèrement je pensais poser ce texte sur les hébreux, le volet IV, bien avant, oui, mais voilà, la maladie en a décidé autrement. Selon les médecins du CHAL, (Centre Hospitalier Alpes Léman), puis du CHU de Grenoble, (Centre Hospitalier Universitaire), j’avais le Cancer aux deux pieds et ils devaient m’amputer. Là, je suis convaincu qu’il y a eu quelqu’un au-dessus de ma tête, car mon esprit fut guidé sur le Centre Cancérologique de Lyon. J’ai cherché ce Centre sur Internet et j’ai trouvé le Centre Léon Bérard à Lyon. Toujours grâce à Internet, j’ai téléphoné à ce « Centre ». Là, pour les cas rapides et importants un numéro de téléphone me fut fourni ainsi qu’une adresse « courriel ou mail » pour expliquer votre cas. Ce que j’ai fait ! Très peu de temps après je recevais une convocation du Centre Léon Bérard à Lyon, avec un docteur en dermatologie. J’ai été avec mon épouse à cette convocation. Ce docteur en dermatologie, quand elle a vu l’état de mes jambes et de mes pieds, m’a demandé si j’étais prêt à faire un sacrifice, de ne plus voir mon épouse pendant quinze jours, trois semaines, voire plus si nécessaire. Ce que j’ai accepté avec empressement. Ce docteur m’a envoyé au Centre de dermatologie des Hospices de Lyon Sud. Là, ils ont refait tous les examens et c’est comme cela que j’ai appris que je n’avais le Cancer qu’à un seul pied, le droit, et qu’il n’était plus question de me couper les pieds. De plus au niveau soins, les infirmières firent un travail splendide. J’ai vraiment eu de la chance, alors cette chance je la crois à un Être qui est au-dessus de ma tête, et qui veille sur moi, cela ne peut être autrement !

En ce jour, le 07/04/2020, jour de la Pâque qu’EL-SHADDAÏ nous demande de fêter, je n’ai pas pu vous prévenir de ce jour tellement important pour nous, ses « Enfants », et je n’étais pas là, car je suis sortie de l’hôpital ce jour, à 11h30mn. Pourtant le soir après le coucher du soleil, mon épouse et moi-même nous fêtâmes la Pâque en pensant à vous, mais j’étais dans l’incapacité de sortir un mot de ma bouche. En effet, ce DIEU seul et unique, m’a prouvé son existence, mais il m’a aussi démontré qu’il sondait chacun de nous et qu’il nous pardonnait nos fautes. Je vous ai écrit que j’avais le Cancer, un carcinome épidermoïde des deux pieds qui exigeait l’amputation de mes deux pieds, une amputation trans-métatarsienne bilatérale, que j’ai refusé, alors le « CHAL » m’a dirigé vers le CHU de Grenoble qui après examens en est venu au même diagnostiques du CHAL. Là, encore j’ai refusé l’amputation !

J’ignore pourquoi, mais je voulais un autre avis, car mon épouse a soixante-et-onze ans, alors si je venais à tomber avec mes deux pieds coupés, comment fera-t-elle pour relever un homme de cent-quarante-cinq kilogrammes ? Et j’en reviens à ce que je vous ai conté ci-dessus, plus avant ! Après un mois de soins intensifs, je pouvais le 20/03/2020 à 11h prendre l’ambulance pour entrer chez moi, revoir mon épouse, mais à 9h juste avant de partir le Docteur Anne Marquetti voulu me pratiquer une « Dyopsis » approfondit sur les deux pieds. Ce qu’elle fit sur place, sûr les deux pieds et profondément. Le 30/03/2020, je rentrais en urgence à l’Hôpital du CHAL, avec des difficultés de respiration, de la fièvre importante, et des nausées. Les docteurs internes du CHAL me firent tous les tests du « Coronavirus » et tous étaient négatifs, par contre ils me changèrent de « Service » car j’étais atteint d’Erysipèle bilatérale avec ulcères chroniques. Ce fut dans ce « Service » que j’ai appris que je n’avais plus aucune trace de mon Cancer. L’Interne me certifia qu’il n’existait plus aucune trace de mon Cancer que se soit aux pieds en dermatologie ou dans les ganglions où toutes traces de ce Cancer ne subsistaient plus. Les Internes de l’Hôpital de Lyon Sud, tout comme les médecins et chirurgiens qui me suivirent ne comprirent pas ce phénomène, cette disparition.

Là, je suis dans l’obligation de croire qu’un seul Être était capable de me guérir, de supprimer de mon corps ce Cancer, je parle de ce « DIEU » seul et unique, celui que je nomme EL-SHADDAÏ, lui seul était capable de me guérir de ce poison, peut-être Jésus le Nazôréen, si son Père lui donne le pouvoir de le faire.

Voilà plus de deux mois que je ne vous ai pas écrit, je vous demande de me pardonner, car la maladie à fait son travail, mais comme écrit ci-dessus en 7 jours, la plénitude, ce Dieu seul et unique, EL-SHADDAÏ, me supprima ce Cancer de mon corps, mais j’ignore le jour. Le Cancer n’est plus là, mais la maladie, elle est toujours là, puisque c’est une insuffisance veineuse. Je n’ai pas pu vous prévenir pour la Pâque, je vous demande humblement pardon !

Portez-vous bien surtout en ce moment !

Prenez soins de vous !

Salutations cordiales à Tous !

Sig : J-P. G. dit « GRANDELOUPO »

 

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