lp de qc, chap. N° 10 - Hénoch, les Géants et les guerres nucléaires

30/09/2017 21:20

  

Derniers paragraphes et dernières phrases du chapitre précédent

 

L’original du livre d’Hénoch est perdu, mais il existe un nombre important de copie en Grec, Latin, Slave et le plus important en Guez traduit directement de l’hébreu et de l’araméen. Je ne vais pas vous poser le prologue du Livre d’Hénoch qui est vraiment ardu

« La version éthiopienne est la seule qui paraisse complète. Elle nous est connue par vingt -six manuscrits qui se trouvent dans les grandes bibliothèques de l'Europe : en Angleterre (Bodléienne, British Muséum, etc.), en France (collection d'Abbadie et Bibliothèque nationale), en Allemagne (Francfort, Berlin), en Italie, etc. L'Angleterre en possède quatorze, dont neuf au British Muséum et deux à la Bodléienne ; la France, huit, dont six dans la collection d'Abbadie (aujourd'hui à la Bibliothèque nationale) et deux à la Bibliothèque nationale, etc. On emploie pour les désigner les lettres de l'alphabet, dans l'ordre introduit successivement par Dillmann, Charles et Flemming »

A : Bodleianus, 4. — B : Bodleianus, 5. — C : Francofurtensis Riipp.  II, 1. — D : Curzon. [1]. — E : Curzon. [2]. — F : Brit. Mus. Add. 24185 (Wright, Catalog of Ethiop. ikfss., Londres, 1877, n° 5). —G : Brit. Mus. Orient., 485 (Wright, n" 6). —H : Brit. Mus. Orient., 484 (Wright, no 7). — J : Brit. Mus. Orient., 486 (Wright, n" 8). — K : Brit. Mus. Orient., 490 (Wright, n° 12). — L : Brit. Mus. Add., 24990 (Wright, n° 13). — M : Brit. Mus. Orient., 491 (Wright, n° 15).—N : Brit. Mus. Orient., 492 (Wright, no 16). —O : Brit. Mus. Orient., 499 (Wright, n" 23). — P : Lindesianus, 23 (au comte de Lindsay). —Q : Berolinensis Peterm., 11, Nachtr. : no 29. — R : Abbadianus, 16. — S: Abbadianus, 30. — T : Abbadianus, 35. — U : Abbadianus, 53. — V : Abbadianus, 99. — W : Abbadianus, 197. — X: Romanus, 71. — Y : Monacensis, 30. — Z : Parisinus, 50. — Z'' : Parisinus, 49.

Plusieurs de ces manuscrits sont des copies de la Bible éthiopienne, dans lesquelles Hénoch se trouve placé au milieu des livres de l'Ancien Testament, quelquefois avant celui de Job. Comme les autres manuscrits éthiopiens, ils sont tous écrits sur parchemin.

Après U, qui remonte peut-être au XVème siècle, les plus anciens, G et Q, remontent au XVIème siècle, quelques-uns, P, T, X, Y, Z, et peut-être W, au XVIIème"; la plupart, A, B, G, D, E, H, J, K, L, M, N, 0, S, W (?), Z (copie de B) seulement au XVIIIème , et trois F, R, V, au XIXème siècle.

Dillmann lui-même mitigé sa première opinion dans un de ses derniers articles et admet un original « hébreu -araméen » »

 

 

 

 

 

 

 

Énoch, les géants et les guerres

 

nucléaires

 

 

Chapitre N° 10

 

 

Le « Mal » est né dans les Cieux, le jour où le premier Ange créé, Sammaël, se rebella contre son Concepteur, Fondateur, à cause de l’Homme, du tout premier humain qui était juste une marionnette sans vie, dans le creux de la main de son Inventeur, Bâtisseur, Créateur, et la similitude, la ressemblance était si époustouflante que tous les Anges voyant l’image d’EL-SHADDAÏ dans le creux de sa main,  se prosternaient devant l’Homme, devant l’image de leur Dieu, mais ce premier Ange, Sammaël, refusa l’allégeance devant cette image façonnée de terre et d’eau, lui qui venait de la poussière du Cosmos et du feu.

 

      

 

Le « Mal » par cette rébellion venait de naître, mais n’a pas eu le temps de se propager dans l’Univers des Cieux, car cet Être Suprême dans une grande colère, s’irrita contre Sammaël et tous ceux qui voulurent l’imiter et le suivre en les plongeant dans une profonde torpeur, les bannissant des Cieux et les jetant sur la Terre et ses environs.

L’Homme en premier fut déposé sur la Terre, puis EL-SHADDAÏ lui façonna une compagne après avoir pris une basse-côte du thorax du premier humain, et pendant tout ce temps, Sammaël et les Siens étaient toujours endormis.

Ce fut quand EL-SHADDAÏ réveilla Sammaël et tous les siens de leur léthargie que ce dernier jeta un « Défi » à son Concepteur et par la même jura que l’humain serait chassé du Territoire d’Eden comme lui avait été chassé des Cieux.

Sur ce premier point il gagna largement !

Voilà comment le « Mal » fut entré sur la Terre !

Livre de I Hénoch, Chapitre VI : 1-7

« L'union des anges avec les filles des hommes.

1, Or, lorsque les enfants des hommes se furent multipliés, il leur naquit en ces jours des filles belles et jolies ; 2. et les anges a, fils des cieux1, les virent, et ils les désirèrent, ils se dirent entre eux :

« Allons, choisissons-nous des femmes parmi les enfants des hommes et engendrons-nous des enfants. »

3. Alors Semyaza, leur chef, leur dit :

« Je crains que vous ne vouliez peut-être pas (réellement) accomplir cette œuvre, et je serai, moi seul, responsable d'un grand péché. »

4. Mais tous lui répondirent2 :

« Faisons tous un serment, et promettons-nous tous les uns aux autres avec anathème3 2 de ne pas changer de desseinb, mais de l’exécuter réellement. »

5. Alors ils jurèrent tous ensemble et s'engagèrent là-dessus les uns envers les autres avec anathème4. 6. Or ils étaientc en tout deux centsd, et ils descendirent sur Ardis, le sommet du mont Hermon ; et ils l'appelèrent « mont Hermon » parce que c'est sur lui5 qu'ils avaient juré et s'étaient engagés les uns envers les autres avec anathème.

7. Et voici les noms de leurs chefs : Semyaza, leur princee ; Arakib, Aramiel, Kôkabiel6, Tamiel, Ramiel, Daniel, Ezéqiel, Baraqiel7, Pasaël, Armaros, Batariel, Ananiel, Zaqilê8, Samsapeel9, Satariel10, Touriel11, Yomeyal12, Arazeyal13 ». 8. Ce sont leurs chefs de dizaine14. »

 

1)Q : « les anges, fils des hommes. »

2) Tous les mss, excepté G, M : « lui répondirent et dirent, » comme le Syncelle :xαί εΐπσυ

3) « Promettons-nous tous avec anathème » manque dans Q.

4) G ajoute en surcharge à la fin du. 5 : « où péchèrent les anges avec les filles des hommes. »

5) « Sur lui » manque dans le V groupe et A, D, R, Y, — Voir George le Syncelle. 

6) Q : « Kôkabâel. »—T, U : « Kôkabel. » Cf. la note sur le )f. 7.

7) Au lieu de « Baraqiel », A, E, V ont lu « Saraqueyal », confondant h avec s, ce qui est assez facile en éthiopien

8) T : « Zaqêlê. » — Q : « Zeqesê. » — Tous les autres mss., à l'exception de G : « Zaqêbê. » — La véritable leçon est celle du grec, « Baqiel. » -i M : « Sâmpsepésêel. » — T, U : « Sempsapebêel. » — Le2 groupe à l'exception de C, E, V : « Semsâwêel. » Cette dernière leçon est celle qui se rapproche le plus du grec SejjMi^X.

9) Q : « Artiel, » au lieu de « Satariel ». — M : « Sartael. »

10) G : « Wariel, » au lieu de « Touriel ».

11) M, Q et le 2 groupe : « Yomyael. »

12) T : « Karaziel. »

13) T2 et le 2® groupe : « Ce sont les chefs des deux cents anges. »

a)« Le Syncelle : « ... les Serviteurs, et ils s'égarèrent à leur suite, (les filles des hommes) et ils dirent les uns aux autres. »

b) « De ne pas nous détourner de ce dessein jusqu'à ce que nous l'ayons accompli et que nous ayons fait cette action. »

C) D'après le grec du Syncelle : « Ceux-ci (les serviteurs mentionnés au f. 2 du même chap., au lieu des anges fils des cieux) étaient donc deux cents, qui descendirent dans les jours de Yered sur la cime du mont Hermon, et ils l'appelèrent le mont Hermon, parce que... » etc., comme dans l'éthiopien.

d)- Le nombre des conjurés manque dans le texte grec retrouvé à Gizeh, ainsi que la mention du lieu où ils descendent.

e)- La liste des chefs dans le grec diffère du texte éthiopien par les noms, Tordre et le nombre. D'ailleurs, les deux textes grecs eux-mêmes ne sont pas d'accord. Tandis que le texte éthiopien n'en donne que dix-huit, le texte de Gizeh en nomme vingt et un, et le texte conservé par le Syncelle, vingt, qu'il numérote avec soin. Le nombre vingt est probablement le nombre primitif, car à deux cents anges [f. 6) devaient correspondre vingt chefs de dizaine, à moins de compter à part et en plus Semyaza comme chef suprême. Infra, LXIX, 2, l'éthiopien en donne aussi vingt et un. Texte grec de Gizeh : « Semiaza, Arathak Kimbra, Sammane, Daniel, Aredrôs, Semiel, Iômeiel, Ghôchariel, Ezekiel, Batriel, Sathiel, Atriel, Tamiel, Barakiel, Ananthna, Thôniel, Ramiel, Aseal, Rakeeil, Touriel. » — Texte conservé par le Syncelle : « 1° Semiaza, leur chef, 2° Atarkouph, 3° Arakiel, 4° Chobabiel, 5° Orammamê, 6° Ramiel, 7° Sampsik, 8° Zaldel, 9° Balkiel, 10° Azaël, 11° Pharmaros, 12° Amariel, 13° Anagêmas, W Thausaël, 15° Samiel, 16° Sarinas, 17° Thôêmiel, 18° Turiel, 19° Joumiel, 20° Sariel. »

1. Cf. Genèse, VI : 1-4. « Lorsque les hommes eurent commencé à être nombreux sur la surface de la terre, et qu'il leur fut né des filles, les fils de Sammaël virent que les filles des hommes étaient belles, et ils en prirent pour femmes parmi toutes celles qui leur plurent. Et EL-SHADDAÏ dit : « Mon esprit ne demeurera pas toujours dans l'homme, car l'homme n'est que chair, et ses jours seront de cent vingt ans. » Or les géants étaient sur la terre en ces jours-là, et cela quand les fils de Sammaël se furent unis aux filles des hommes, et qu'elles leur eurent donné des enfants ; ce sont là les héros renommés dès les temps anciens. » Cf. Philon, De gigantibus ; S. Justin, Apologie, I, S ; Pseudo-Clément, Ilom., vin, I 2 et S.; Clément d'Alexandrie., Stromates, V, I, 10 ; Tertullien., De virgin. Velan. Vu ; Adv. Marcion, v, 18; De idole, IX ; Lactance, Inst., n, 15 ; Commodianus, Instructionne I, 3 ; S. Augustin, De civitate Dei, XV, 23, etc. — Les Jubilés, IV : 10, donnent une raison différente de la descente des anges : « Dans ses jours de Yered, les anges du Seigneur descendirent sur la terre, ceux qu'on appelle les veilleurs, afin d'apprendre aux enfants des hommes à pratiquer le droit et l'équité sur la terre. »

6, Telle est la traduction du texte éthiopien actuel. Mais le texte exact nous a été conservé par le Syncelle : 1. Le traducteur éthiopien, ou bien n'a pas trouvé dans son exemplaire, ou bien a omis de traduire. Taïç -/ a bloqué les mots làplSelç, dont il a fait Ardîs, qu'il a joint à ce qui suit par l'explication za-we'etû, « c'est-à-dire. » De plus, les mots ot xaxaêâv-Tsçj,  «ceux qui descendirent » qu'il aurait fallu traduire a-iwaradû, ont été traduits wa-waradû, « et ils descendirent, » Cf. Flemming, -Das Buch Henoch, p. 25, Ug. 10, note, et Charles, Thebook of Enoch, p. 63, note 6. — Il y a un jeu de mots sur « Hermon » et « anathème », en hébreu herem.

7. Les manuscrits éthiopiens présentent un assez grand nombre de variantes dans les noms des chefs (voir plus haut, notes 1, 2, 3, 4, etc.). Beaucoup s'expliquent par des confusions de lettres. Nous n'avons donné que les plus importantes. — Arakib = 'ApaxiïiX du Syncelle et 'ApaOâx du grec de Gizeh. — Aramiel = 'Opa {j.(j.a|jLYi du Syncelle et Ktfigpà (?) du grec de Gizeh. Presque tous les manuscrits éthiopiens réunissent ces deux noms en un seul. G et Y seuls les séparent, mais inexactement : Araki, Baramiel pour Arakib, Aramiel. Cf. Dillmann, Das Buch Henoch, p. 93-95. — Kôkabiel (voir plus haut les variantes, note 1), peut-être le nom babylonien de la planète Jupiter, « l'étoile de Bel, » c'est-à-dire « du Seigneur » par excellence, Marduk, le grand dieu de Babylone. Les Grecs l'ont pour cette raison appelée Zeùç. Epiphane, Adv. haser., XVI, 2, la nomme Kwxè6 pâaX, et les Mandéens l'appellent eux aussi Kaukebîl.

 

Je viens de vous poser des textes rébarbatifs, mais je pense que cela était nécessaire pour la compréhension des écritures suivantes. Les Anges du mal, ces Serviteurs de Sammaël, s’accouplèrent avec les filles des hommes qu’ils trouvèrent très belles, mais le Très-Haut dans le même temps avait envoyés des Anges sur la Terre que l’on appelait des Veilleurs, des Vigiles pour apprendre la justice et l’équités aux hommes, mais eux aussi virent que les filles des hommes étaient très belles et comme les Serviteurs ils s’accouplèrent avec les femmes des hommes.

Les Jubilés chapitre IV : 15

« Et dans la deuxième semaine du dixième jubilé Mahalalel prit Dinah pour femme, la fille de Barakiel et fille du frère de son père, et dans la sixième année de la troisième semaine elle lui donna un fils et il appela de ce nom Jared, car dans ces jours les anges du Seigneur, ceux qui sont appelés les Vigiles, descendirent sur la terre afin qu’ils instruisent les enfants des hommes et qu’ils fassent jugement et justice sur la terre. »

Leurs progénitures devinrent des géants, des ogres de trois cent coudés ce qui faisait entre cent-trente et cent-soixante-dix mètres de hauteur. Ils mangeaient tout ce que les humains produisaient, mais comme ils n’arrivaient pas à se rassasier ils mangeaient tout ce qui se mouvait sur la Terre, dans les aires et dans les mers, et mêmes le cannibalisme. L’iniquité, l’abomination, l’adultère, le sang des animaux et des humains coulaient sur la Terre.

 

    

 

Toujours dans le même temps à l’époque de Mahalaël et Yered, Henoch VIII : 1-9,

« 1. Azaziel enseigna encore aux hommes à faire des épées, des couteaux, des boucliers, des cuirasses et des miroirs ; il leur apprit la fabrication des bracelets et des ornements, l'usage de la peinture, l'art de se peindre les sourcils, d'employer les pierres précieuses, et toutes espèces de teintures, de sorte que le monde fut corrompu.

2. L'impiété s'accrut ; la fornication se multiplia, les créatures transgressèrent et corrompirent toutes leurs voies.

3. Amarazak enseigna tous les sortilèges, tous les enchantements et les propriétés de racines.

4. Armers enseigna l'art de résoudre les sortilèges.

5. Barkayal enseigna l'art d'observer les étoiles.

6. Akibeel enseigna les signes.

7. Tamiel enseigna l'astronomie.

8. Et Asaradel enseigna les mouvements de la lune.

9. Et les hommes sur le point de périr élevèrent leurs voix, et leurs voix montèrent jusqu'au ciel. »

L’humanité commença à diminuer sur la Terre et le cri des humains monta jusqu’aux Cieux

EL-SHADDAÏ commença à regretter d’avoir inventé, créé l’Homme, l’Humain, alors il décida de faire périr tout ce qui vit sur la Terre.

Puis de sa hauteur, regardant la Terre avec toutes ses abominations, cette iniquité, IL mit dans l’esprit de ses ogres, de ses géants de se combattre les uns contre les autres afin qu’ils s’exterminassent jusqu’au dernier et c’est ce qu’ils firent.

« Maintenant je vais nettoyer la terre de la Terre de toutes ces souillures ! » Et regardant la Terre il pensa à la descendance d’Hénoch et Mathusalem engendra Lamech qui engendra Noé et, malgré le monde d’iniquité qu’il y avait autour d’eux, ils restèrent fidèles à EL-SHADDAÏ respectant ses Lois et Préceptes.

Ce Dieu seul et unique voulait toujours nettoyer cette Terre de sa luxure, débauche, dépravation par un immense « Déluge », alors « IL » aida Noé et sa famille. Par un songe « IL » donna les côtes de construction d’une grande caisse en bois à plusieurs étages que l’on nomma « Arche ».

Quelques décennies d’année avant « IL » prévint Noé « qu’IL » allait faire pleuvoir sur la Terre. Cela a dû étonner Noé car il ne pleuvait pas sur la Terre, Genèse II : 6, « Toutefois, un flot montait de terre et arrosait toute la surface du sol ». Comme souvent je l’écrirai, la Bible est misogyne, car elle parle de la gent mâle, et les plus connus, mais rarement du sexe féminin sauf s’il a une grande importance, notoriété.

Donc Noé a eu combien de « filles » avant le Déluge ? Noé, d’après la Bible, eut son fils Sem à l’âge de cinq-cents ans, mais elle ne dit pas que c’est son premier né, donc il est logique de penser que cet homme eut des filles cela est certain, et sûrement des fils dont « un premier-né » avant Sem ? La Bible comme l’Écriture Apocryphe font un silence de plomb ! Pourquoi ? De plus il est impossible que Noé ait attendu cinq cents ans avant d’avoir son premier enfant, ceci est contre toute logique, surtout à une époque où les Patriarches sont encore vivants, et que la Loi divine dit : « Multipliez-vous et remplissez la Terre ! » et sachant Noé proche d’EL-SHADDAÏ, alors ! …. Je pense avoir raison et que mon raisonnement ait logique. La Bible parle d’eux car ils suivent leur père, et il est logique de penser que des filles de Noé avec leur époux sont en accord spirituellement, ainsi que leurs progénitures avec Noé et qu’ils suivent les Lois et Préceptes d’EL-SHADDAÏ, ce qui fait que, pour construire cette « Arche » il devait y avoir plus d’une centaine de personnes.

Pensez à ces hommes mesurant entre trois et quatre mètres pesant deux cents à trois cents kilogrammes, imaginez-vous cette corpulence, cette force ? Et ils n’étaient pas de trop pour cette immense construction sous les quolibets, railleries de leurs semblables.

J’arrête les écritures avec Noé et revient à l’ère antédiluvienne, à cette époque où les humains vivaient neuf cents ans et plus puisque d’Adam à Noé la moyenne humaine de l’âge est de neuf-cent-douze ans.

Juste une petite constatation sur notre époque avant de revenir à cette ère antédiluvienne. Reportons-nous aux années de 1870 sous Napoléon III : pour la guerre la France vient d’inventer la mitrailleuse, les voies ferroviaires sont à leurs balbutiements, dans les villes les déplacements se font avec les omnibus. En un siècle, cent ans, le modernisme évolue à une vitesse vertigineuse avec le « chemin de fer » la voiture particulière à essence allant de 15 km/h en 1850 à plus de 300 km/h en 1950. En 1958 les humains ont marché sur la lune, les avions volent à deux fois le « mur du son 2448 km/h ». En 2017 le téléphone est portable, il y a l’ordinateur qui remplace le papier, les machines è écrire, sans compter sur le frigidaire, la machine à laver le linge, la vaisselle. Sur toute la Terre les nouvelles circulent en deux secondes, les humains se parlent d’un Continent à l’autre. La technologie mondiale avance à une rapidité phénoménale et en cette fin d’année 2017 nous sommes au bord d’une guerre nucléaire entre la Corée du Nord et les USA.

 

                                         

 

Depuis Adam les humains se multiplient sur la Terre, la remplissent et ne parlent qu’un seul langage Seth, Énosh, Quénâm, Mahalaël, Yered, sont les Patriarches de la descendance de Seth, mais il y a aussi « la descendance de Caïn qui engendra Énoch et il procréa Ciram, Cuut et Madah. Ciram engendra Matusaël qui engendra Lamech. Lamech prit deux femmes Ada et Sella, Ada enfanta Yubab qui devint le père des bergers et Yobal qui fut le premier musicien en jouant de la cithare, de la lyre et du chalumeau. Sella accoucha de Tobel, enfanta Miza et Teffa. Tobel montra à ses semblables l’art de travailler le plomb, l’étain, le fer, l’airain, l’argent et l’or. En ce temps-là les habitants de la Terre avait commencé à faire le mal, en allant chacun vers la femme de son prochain pour la souiller, à faire des images taillées et à les adorer. »

Maintenant parlons de l’avance technologique de ces humains, sachant que leurs outils, les clous, vis, et autres ne se corrodaient pas et étaient d’une dureté que nous ne connaissons pas. De plus les arbres étaient comme tout, gigantesques comparés à notre ère, et d’une forte densité. Je suis convaincu que les humains antédiluviens avaient inventé un système de déplacement et de levage que nous ignorons complètement, puisqu’ils vivaient dans des villes. Je réitère, ces humains étaient beaucoup plus intelligents que nous, car leurs ascendants venaient de la perfection.

Au niveau outils où engins de travaux publics nous ignorons leurs avances, par contre au niveau armement les archéologues avec les géologues et les paléontologues ont la preuve d’une avance technologique très avancée, beaucoup plus en avance que la nôtre, puisqu’ils connaissaient l’arme nucléaire, mais aussi le laser et le guidage des missiles par ondes sonores. Toujours par la géologie et l’archéologie associée nous savons qu’ils possédaient des engins de levage plus expérimentés et plus puissant puisqu’ils pouvaient lever des charges cent fois supérieur à nôtre grue la plus puissante.

Les guerres nucléaires :

« Tous les textes que nous avons déjà étudiés et les réalités retrouvées sur le terrain dans la vallée de l’Indus et le désert du Thar, domaine des indo-européens, démontrent, une que les guerres du Ramayana sont des guerres nucléaires, une preuve flagrante c’est qu’aujourd’hui encore, dans la vallée du Thar qui est devenu depuis ce temps un désert il y a une radioactivité équivalente à celle du désert de Gobi, cinquante fois supérieure à la normale, soit 82ms/an »

La deuxième guerre du Gobi racontée par les légendes chinoises précise que l’empereur céleste Huangdi était furieux contre Yi d’avoir fait tant de dégâts et de destructions sur la terre la rendant inhabitable. En effet il a poursuivi les atlantes avec ses armes nucléaires jusqu’à Sumer dévastant ainsi une grande partie de terres auparavant fertiles.

Mais dans les védas, le Ramayana, comme dans le Mahabharata, il y a bien d’autres passages qui citent des batailles aériennes et l’utilisation de l’arme nucléaire avec la description de ses effets et de ses conséquences

Il n'y a pas de restes de l'ancienne technologie aérienne Indienne mais des références sur ces machines volantes sont communes dans les anciens textes indiens. Plusieurs épopées épiques anciennes décrivent leur utilisation en temps de guerre.

Les scripts prennent bien soin de censurer le fait que tous leurs écrits sont basés sur des sources authentiques. Malheureusement, quatre-vingt-quinze pourcents de ces documents ne sont pas traduits.

Les épopées anciennes les plus connues, traduites de l'ancien texte Sanskrit, sont la Mahabharata et le Ramayana.

Ces deux épopées décrivent des guerres anciennes dont la férocité a détruit l'ancien monde préhistorique. La guerre entre les combattants se faisait avec de puissants engins aériens, le plus connu est le « Vimana ».  Aussi bien le Mahabharata que le Ramayana décrivent le Vimana comme étant un appareil aérien en forme de dôme circulaire ou de cigare.

Un des aspects le plus surprenant des épopées indiennes est que ces guerres sont similaires aux techniques des combats aériens modernes. Les textes décrivent des méthodes pour préserver l'essence en volant à différentes altitudes, des atterrissages d'urgence causé par la menace ennemie, et des dommages provoqués par les impacts des oiseaux. D'autres strophes préviennent sur l'importance à éviter, en haute altitude, les tempêtes et comment absorber l'énergie des rayons du soleil pour recharger les appareils volants. Le « Vaimanika Sastra » dédit des diagrammes décrivant les trois types d'appareils volants.

L'empire Rama est décrit dans le Mahabharata et le Ramayana. Ils le décrivent comme une civilisation ayant une technologie supérieure et dans laquelle la caste noble était capable de voyager partout sur Terre et sur la lune et même vers les étoiles. L'appareil Vailixi avait la plupart du temps la forme d'un cigare, plus rond qu’un Vimana, et pouvait voyager à travers l'eau aussi bien que l'air

 

             

 

L'empire possédait sept grandes capitales appelées les sept cités Rishi. Les nobles voyageaient d'une cité à l'autre par les airs bien qu'un texte Jain, daté du huitième millénaire avant JC, dit que des chariots aériens étaient utilisés pour le transport normal et étaient appelés Pushpaka et pouvaient emmener beaucoup de personnes d'une capitale a une autre. A plus haut de l'empire, il y avait beaucoup de machines volantes traversant les cieux et qui montraient l'éclat jaune de leurs moteurs aux spectateurs nocturnes.

En Inde, les scientifiques ont déterré une ancienne cité contenant des preuves d'une explosion atomique datant de dix mille à huit mille ans et qui a détruit la plupart des immeubles et probablement un demi-million de personnes. Les radiations sont encore si intenses que la zone est extrêmement dangereuse.  Un article du World Island Review de janvier 1992 parle d’une épaisse couche de cendres radioactives qui recouvre plus de 4, 827 km2 de surface à Rajasthan, à 16, 090 km2 à l'ouest de Jodhpur.

Un des chercheurs, estime que la bombe nucléaire utilisée devait être de la taille de celles lancées sur le Japon en 1945. Le Mahabharata décrit clairement une explosion catastrophique qui toucha le continent.

Autres écrits du Mahabharata nous raconte les effets de l’arme suprême :

« C’est une coquille, qui étincelait comme le feu, mais sans dégager de fumée

Quand la coquille a touché le sol, le ciel est devenu obscur , les tornades et les tempêtes ont ravagé les villes Une horrible explosion a brûlé des milliers de gens et d’animaux , les réduisant en cendres »

Un autre extrait du Mahabharata raconte :

« Ghurka surgit dans son puissant « Vimana » et détruisit les trois cités des Vrishis et des Andhakas avec un projectile unique chargé de toute la puissance de l’Univers. Une colonne incandescente de fumée, et de flammes aussi lumineuses que dix mille soleils s’élevèrent dans toute sa splendeur.

C’était une arme inconnue, une foudre de fer, un gigantesque messager de mort qui réduisit en cendres la race entière des Vrishis et des Andhakas …

… Les cadavres étaient tellement brûlés qu’ils étaient méconnaissables Leurs cheveux et leurs ongles tombaient

La poterie se cassait sans raison apparente et les oiseaux devenaient blancs

Au bout de quelques heures, toute nourriture était infectée …

Pour échapper à ce feu les soldats se jetaient dans les rivières pour laver leur corps et leur équipement … »

Kisari Mohan Ganguli, historien, dit que les textes sacrés indiens sont remplis de telles descriptions qui ressemblent à une explosion atomique comme elle fut testée à Hiroshima et Nagasaki. Il dit que les références mentionnent des chariots volants dans le ciel et des armes finales.

 

                      

 

Une ancienne bataille est décrite dans le Drona Parva, une section du Mahabharata.

« Le passage parle de combats dans lesquels les explosions des armes finales décimaient des armées entières, repoussants des masses de soldats avec leurs coursiers et leurs éléphants comme s'ils étaient des brindilles. » dit Ganguli « a la place de champignon atomique, l'auteur décrit une explosion perpendiculaire avec ses nuages de poussières se soulevant comme des parasols géants en train de s'ouvrir. Il y a des commentaires à propos de la contamination de la nourriture et les cheveux tombants des gens. » Francis Taylor, archéologue, dit que des gravures se trouvant dans des temples proches suggèrent qu'ils priaient pour être épargnés de la grande lumière qui venait mettre en ruine la ville.

 Au Pakistan et en Inde, dans la vallée de l’Indus, se trouvent les ruines de plusieurs cités antiques, détruites de façon brutale. Elles ne sont pas mentionnées dans l’histoire : nous pouvons en conclure qu’elles sont antérieures aux temps historiques. On les soupçonne d’être quelques-unes des cités Rishis du mythique empire de Rama. Les deux plus grandes villes sont aujourd’hui appelées Mohenjo-Dâro et Harappâ mais ces noms sont modernes. Chacune d’elles pouvait loger jusqu’à deux-cents mille habitants.

S’agirait-il des cités des Vrishis et des Andhakas ces trois villes détruites par Ghurka et sa foudre de fer ? Les archéologues ont découvert dans cette zone les restes d’une ville de la civilisation de la vallée du Thar comportant des traces d’explosion nucléaire survenue il y a plusieurs millénaires.

Il semble en tout cas que ces villes aient été détruites en un instant : sur la chaussée, les fouilles ont permis de découvrir des squelettes fauchés en pleine activité. Après des millénaires, ces squelettes sont encore aussi radioactifs qu’à Hiroshima. Cette radioactivité élevée a entraîné des problèmes sanitaires graves, si bien que le gouvernement indien a été contraint de fermer le site de fouilles et d’interdire la zone.

« C'est si contraignant d'imaginer qu'une civilisation ait eu la technologie nucléaire avant nous. La poussière radioactive crédibilise les enregistrements anciens qui décrivent des guerres atomiques. » (Source Rusty James)

Le désert du Thar, d’une superficie de deux-cents mille kilomètres carrés, est appelé Mârusthali, « le Pays de la Mort » en Inde, et au Pakistan, il porte le nom de désert du Cholistan qui signifie « Mortelle »

Cette zone est devenue désertique entre neuf mille à huit mille ans avant l’EC ou J-C. À cette époque le fleuve Sarasvatî s’enfonçait dans le désert et ne laissait qu’un lit asséché qui réapparaissait au Pakistan

Sous le désert du Thar il n’y a pas que du pétrole et du charbon, il y a aussi la cinquième plus grande nappe phréatique d’eau douce du monde.

Je vais continuer dans le prochain chapitre sur les guerres nucléaire qui malheureusement ont existé !

Au fur et à mesure que j’avance dans mes découvertes et lecture, je suis étonné de tout ce que les médias nous cachent, dû sans doute à la politique et à la religion.

Alors vous mes semblables fortifiez-vous dans la croyance d’un seul et unique Dieu que je nomme EL-SHADDAÏ, comme son « Nom » est écrit dans la Genèse de la Bible, sept fois comme une plénitude, car je réitère Jésus le Nazôréen, le « Jésus-Christ » des chrétiens n’est pas un Dieu, et beaucoup trop d’humains prie un morceau de bois en forme de croix avec un homme cloué dessus, comme des idolâtres qu’ils sont, en oubliant de prier le seul véritable Dieu, son Père, qui est l’unique Dieu de tout l’Univers.

C’est « LUI » qu’il faut prier !

Comme le dit son propre fils : « Sans mon Père je ne suis rien, car je ne fais que la volonté de mon Père » Se sont les propres paroles de son fils dans tout l’évangile de Jean, l’Apôtre qu’il aimait le plus, voilà pourquoi sur la croix il lui confia sa mère

Portez-vous bien et prenez soins de votre maisonnée !

Salutations cordiales à tous !

Sig : J-P. G. dit « GRANDELOUPO »

Précédent